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Un homme a nourri des chats des rues devant son bureau pendant 20 ans, mais il a arrêté : ils ont vite trouvé sa maison

Un homme nommé Joe Fonsec travaillait dans un petit bureau municipal de Californie depuis plus de vingt ans. Pendant tout ce temps, il a pris soin des habitants à fourrure du parking proche de son lieu de travail, en leur fournissant de la nourriture quotidienne. Ces chats connaissaient l’heure exacte de leur arrivée et le recevaient toujours avec beaucoup de gratitude et d’affection.

Cependant, le moment est venu de changer et Joe a décidé de prendre un repos bien mérité en prenant sa retraite. Il regrettait de ne pas pouvoir continuer à prendre soin de ses amis ronronnants, mais la vie exigeait de nouvelles étapes.

Et soudain, quelques jours plus tard, les chats se sont retrouvés chez Joe. Son logement s’est avéré proche de son lieu de travail, et il était à la fois étonné et heureux de voir les rangées de ses compagnons ronronnants se diriger vers sa maison. Tous ces chats étaient en fait ses amis. Et c’est ainsi que la routine a commencé : jour après jour, les chats venaient vers lui à une certaine heure, et Joe ne pouvait pas leur refuser de la nourriture.

Cependant, les voisins ne tardèrent pas à remarquer cette étrange coutume. Les locataires mécontents ont décidé de porter plainte auprès de la direction de la maison. Bientôt, un représentant de la société de gestion frappa à la porte de Joe, tenant une pile de documents confirmant les règles de résidence. Ces papiers indiquaient clairement qu’il était interdit de garder des animaux dans cette habitation. Même si tous les résidents n’observaient pas cette règle, certains gardaient les chats ou les chiens à l’écart, il était impossible de cacher que Joe avait près d’une vingtaine de chats chaque jour.

Aux États-Unis, les lois dans le domaine des relations intérieures sont appliquées de manière assez stricte, car les violations entraînent souvent de lourdes sanctions. Pour Joe, cela signifiait que s’il ne cessait pas d’attirer les chats, il s’exposerait à de lourdes amendes et à une éventuelle expulsion, puisque la maison ne lui appartenait pas, mais qu’elle était louée.

Ainsi, Joe s’est retrouvé dans une situation très difficile. Il ne pouvait pas interdire aux chats de venir chez lui, car ce sont des animaux et ne comprennent pas ces interdictions. Cependant, il ne pouvait pas non plus se permettre de payer d’énormes amendes, car il n’était pas riche et n’avait pas de maison propre. Il pourrait simplement essayer d’ignorer la situation, arrêter de nourrir les chats, mais cela ne les empêcherait pas de se montrer. D’un autre côté, la direction de la maison pourrait attirer un service spécialisé pour la capture des animaux, et le sort ultérieur de ces chats restait en question, probablement plutôt triste.

Joe était donc confronté à un choix difficile. Incapable de résister au ménage, il ne pouvait pas non plus trahir ses amis à quatre pattes. La question s’est posée de savoir quoi faire dans une telle situation.

Fonsek a appelé activement tous les refuges de la région, mais partout il a rencontré des refus – il n’y avait tout simplement pas de place pour des animaux à fourrure supplémentaires, car la surpopulation régnait partout. L’homme perdait presque espoir, mais soudain, la situation a changé : l’un des refuges a accepté de lui venir en aide. Arrivé sur place avec le premier chaton, Fonsec fut étonné des conditions épouvantables : l’endroit semblait sauvage et négligé. Cependant, le personnel du refuge l’a étonné : c’étaient des gens pleins de gentillesse et dévoués à leur travail. Malgré le manque de fonds et de financement, leur ferveur intérieure les a motivés à aider autant que possible. Cette détermination et cet enthousiasme donnent à Fonsec un second souffle.

Alors l’homme pensa : pourquoi resterait-il à la retraite, ne rien faire et se laisser transformer en un vieil homme faible ? C’est à ce moment-là qu’il décide de se saisir de l’affaire. Tout d’abord, il a rassemblé tous les chats qui venaient régulièrement chercher de la nourriture. Tour à tour, ils étaient une vingtaine. Il les a tous envoyés dans le même refuge. Puis il commença à améliorer les conditions de cet orphelinat. Fonsec était couturier et, grâce aux fonds limités de l’orphelinat, il a pu se procurer des matériaux de construction. Manquant de fonds pour embaucher des ouvriers, il reprend le chantier, maîtrisant la construction au fur et à mesure.

Ainsi, grâce à ses efforts et son travail titanesque, le refuge est devenu beaucoup plus confortable et attrayant. Bien qu’il soit resté loin de la richesse, il a pris une forme humaine, se débarrassant de l’atmosphère d’horreur. Fonsec a alors commencé à faire du bénévolat au refuge, et il pouvait désormais rencontrer ses amis à quatre pattes presque tous les jours jusqu’à ce qu’ils parviennent à trouver un foyer permanent et des propriétaires attentionnés.

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